oeil

joined 2 months ago
[–] oeil@jlai.lu 3 points 1 day ago* (last edited 1 day ago) (3 children)

Je mets ici les 3 principales techniques recommandées par Tricoter ses chaussettes, toutes les techniques, Émilie Drouin et Élodie Morand, éditions Eyrolles.

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Pour l'instant, je n'ai tricoté que le talon à gousset (+ "renforcé" en nid d'abeille : pas très esthétique mais confortable) et le talon en rang raccourcis.

[–] oeil@jlai.lu 2 points 2 days ago (1 children)

Je suis impressionnée par tes mesures et tes calculs. Tu as peut-être été tailleur dans une autre vie.

[–] oeil@jlai.lu 1 points 2 days ago* (last edited 2 days ago) (1 children)

De rien :)

Ici, il y a une interview où il détaille son processus créatif avec pleins de photos. J'aime bien son sketchbook. Et son site. Il a l'air de ne plus s'en occuper depuis longtemps mais on trouve plusieurs illustrations de ses livres dessus.

[–] oeil@jlai.lu 1 points 2 days ago (3 children)

Les lignes hertziennes sont destinées au même sort que les lignes téléphoniques terre, d'ici 2030. Investis plutôt dans un élevage de pigeons voyageurs.

[–] oeil@jlai.lu 3 points 2 days ago (1 children)

Je note pour la commu ! Rien de grave, je te rassure !

L'explication est toute simple.

@Kuruad@jlai.lu a parlé d'un jeu de nettoyage de crimes. Ça m'a rappelé un documentaire que j'avais vu sur un mexicain spécialisé dans le nettoyage d'appartements dans lesquels des crimes ont été commis (The Cleaner pour ceux que ça intéressent). Et ce week-end, j'ai vu un documentaire sur les jansénistes où il était brièvement question des Convulsionnaires, mais aussi de l'université Karl Marx.

[–] oeil@jlai.lu 2 points 2 days ago (3 children)

Un album jeunesse superbe feuilleté dans une bibliothèque municipale : Dans un jardin

Atak est un illustrateur allemand très connu ! Version adulte/ado, il a aussi illustré L'Étranger Mystérieux de Mark Twain si ça t'intéresse.

[–] oeil@jlai.lu 7 points 2 days ago (3 children)

D'accord. Du coup, je vais vous raconter mon rêve de cette nuit.

J'étais au cinéma pour voir un thriller. Le héros fuyait, pendant tout le film, quelqu'un qu'il avait blessé. À la fin, alors qu'il prend une douche dans un gymnase, la personne le retrouve et le tabasse à mort. C'est filmé du point de vue de la victime. Sa tête finit en bouillie totale. Le passage à tabac dans le film a un effet sur les spectateurs : on ressent une sorte de poids sur la tête à chaque coup. Du vrai cinéma immersif.

Je suis ensuite restée dans un semi-sommeil où il était question de l'Université Karl Mark d'Allemagne de l'Est. Je me suis totalement éveillée avec "C'est la luuuuttteeee finaaaaleeee" dans la tête.

Merci de m'avoir écoutée.

[–] oeil@jlai.lu 1 points 2 days ago* (last edited 2 days ago)

Parfois, on se rend compte aussi de nos mésusages dans notre propre langue.

Un ami latino s'agaçait à chaque fois qu'il m'appelait pour que je le rejoigne quelque part et que je lui répondais en espagnol "ya vengo" ("je viens", du verbe venir) au lieu de "ya voy" ("j'arrive", du verbe ir - aller). Il m'expliquait ensuite que puisque je le rejoignais quelque part, c'était à lui de me dire venir à sa rencontre, et que moi je devais répondre "j'arrive" ou "je vais à ta rencontre".

En tant que française, ça me faisait des nœuds au cerveau à chaque fois.

[–] oeil@jlai.lu 2 points 2 days ago (1 children)

#SUTOM #1207 2/6

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https://sutom.nocle.fr/

Na !

[–] oeil@jlai.lu 1 points 3 days ago (1 children)

Wah. Mais c'est gore ou bien ?

[–] oeil@jlai.lu 4 points 3 days ago* (last edited 3 days ago) (1 children)

divulgâcheC'est utilisé pour des œuvres en 3 parties, le plus souvent pour des tableaux.

Les plus connus dans le genre sont ceux de Jérôme Bosch. Ex :

Le Jugement Dernier

 

Curiosité faisant partie de la collection de la Maison Mantin, à Moulins, en France. La collection compte également un rat empaillé jouant du violin.

 

Il y a des patrons gratuits :)

 

Nouveau numéro sur l'histoire des petites mains de la mode : "broder, tisser, coudre, tricoter, confectionner de la dentelle, fabriquer de la maille, repriser, travailler le cuir, tatouer, façonner des gants..."

La mode à pleines mains. « Seconde main », « petites mains », « main » du tissu... Le langage, têtu, nous rappelle ce que le récit enchanté de la mode efface souvent soigneusement : ce lien si intime entre la main, la couture et le vestiaire. Comme si le vêtement pouvait exister sans les gestes qui le taillent, l’assemblent, le fabriquent ; comme si une robe se portait sans mains pour la boutonner ou l’arranger ; comme si nos mains – baguées, gantées, manucurées ou abimées – étaient une part un peu négligeable du corps de mode. La féérie de la mode requiert d’en oublier le prosaïque, le laborieux, les ajustements permanents. Elle tient en de somptueuses silhouettes sans contingences, dont certaines parts seulement sont mises en gloire : jambes, seins, visages, tailles, bras parfois... Les chercheurs eux-mêmes, accompagnant le mouvement à leur façon, ont rarement regardé les mains, que ce soit en leurs gestes travailleurs ou leurs parures exhibées. Comme si, par leur évidence, elles risquaient de gâcher la poésie des apparences. L’idée d’intelligence de la main a certes nourri nombre de débats depuis Aristote, tout comme la question des liens entre main et outils ; et l’on peut observer un regain d’attention pour les artisanats, les techniques et les manières de faire. Tout cela n’efface pas un insistant mystère : ce que la mode doit et fait à nos mains. Modes pratiques : ce sixième numéro l’est donc sans doute comme jamais. En son cœur, en effet, des techniques et des gestes : broder, tisser, coudre, tricoter, confectionner de la dentelle, fabriquer de la maille, repriser, travailler le cuir, tatouer, façonner des gants... Tout l’envers du décor et le hors champ s’y dévoilent. Et, avec eux, des femmes et des hommes, artisans de métiers perdus ou négligés – brodeurs ou maroquiniers, tisserands ou ouvrières de l’aiguille – et des industries peu souvent racontées : ganteries de Millau ou premières fabriques de gants de boxe. Leur histoire y est relatée, par les mots des travailleurs ou ceux des chercheurs, qui disent les façons de faire, les apprentissages, les blessures et les joies. De mains en mains, se tisse ainsi un récit industrieux, social et symbolique. S’y révèlent les parentés techniques des gestes de la mode avec ceux de peindre ou de cueillir, et la fertilité intellectuelle de la pratique pour celles et ceux qui l’écrivent. S’y lisent les pouvoirs d’émancipation ou d’affirmation d’un savoir-faire – pour les femmes tatoueuses et tatouées de l’hôpital Broca ou pour des détenus en Angleterre. S’y raconte la force symbolique des gants et de leurs usages codifiés, jusqu’à leur contemporaine disparition. S’y lit le récit social délivré par les mains contrôlées des domestiques ou meurtries des ouvrières et ouvriers. S’y montre aussi la portée poétique et métaphorique des mains mises en scène dans la littérature et au cinéma. Car les jeux de mains et du vestiaire ont une histoire : où placer ses mains dans l’Antiquité romaine, en ces temps sans poches cousues ? Comment jouer de ses mains et de ses manches en cours d’assises ? Que signifiait retrousser sa robe au XIXe siècle ? Quel sens donner aux poses des mains dans le magazine Vogue ? Comment voler, d’une main habile, dans les poches ? Sans toutes ces mains, pas d’histoires de mode.

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Le train au cinéma (bibliotheques.paris.fr)
submitted 1 month ago* (last edited 1 month ago) by oeil@jlai.lu to c/chemindefer@jlai.lu
 

Une sélection de 108 films pour les cinéphiles ferroviphiles (ou les ferroviphiles cinéphiles, au choix).

MàJ : remplacement de "ferrovipathes" par "ferroviphiles"

 

publication croisée depuis : https://jlai.lu/post/16234338

Un article très intéressant de Modes pratiques, la revue d'histoire du vêtement et de la mode publiée par l'École supérieure des arts appliqués Duperré et par l'Institut de Recherches Historiques du Septentrion.

L'histoire du fameux tricot islandais, notamment comme monnaie d'échange coloniale et moyen de subsistance. On y explique également que tout le monde tricotait à la maison : hommes, femmes, enfants...et que les aiguilles circulaires datent de 1930 !

 

Un article très intéressant de Modes pratiques, la revue d'histoire du vêtement et de la mode publiée par l'École supérieure des arts appliqués Duperré et par l'Institut de Recherches Historiques du Septentrion.

L'histoire du fameux tricot islandais, notamment comme monnaie d'échange coloniale et moyen de subsistance. On y explique également que tout le monde tricotait à la maison : hommes, femmes, enfants...et que les aiguilles circulaires datent de 1930 !

 

This is a project for anyone who wants to throw something at the wall every time an article comes out about how more of our rights are being stripped away but also doesn’t want to break their fish tank/flower vase/television/porcelain cat figurine in the process.

 

Un MOOC proposé par l'Université Paris-Panthéon Sorbonne, à partir du 22 mars. Environ 1h30/semaine sur 4 semaines.

Chaque chantier est un puzzle complexe où chaque élément doit être documenté, prélevé et analysé avec rigueur. Ce MOOC vous permettra d’acquérir les bases essentielles du travail de terrain, du premier coup de truelle à la conservation des vestiges. Il s’adresse à tous : amateurs curieux, étudiants en archéologie, lycéens en quête d’orientation ou professionnels souhaitant approfondir leurs compétences. Aucun prérequis n’est nécessaire, si ce n’est votre intérêt pour le passé et votre envie d’apprendre. Conçu comme une véritable immersion, ce cours s’appuie sur des vidéos tournées sur des chantiers en France. Vous y rencontrerez une vingtaine de spécialistes – archéologues, topographes, photographes, anthropologues ou conservateurs du patrimoine – qui vous feront partager leur expertise et leur passion.

 

Archéobotanique (ou paléobotanique). Alfred Riocreux était un peintre, spécialisée dans les illustrations scientifiques.

Parmi ses nombreuses collaborations scientifiques, on peut remarquer trois orientations principales : la cryptogamie et l’algologie, et plus généralement le monde marin ; les plantes à fleur et l’horticulture ; et la peinture de fruits. Dans ces trois domaines, il démontre des talents variés, allant du dessin d’après des observations microscopiques, à la délicate technique de l’aquarelle sur vélin, spécialité des peintres du Muséum.

publication croisée depuis : https://jlai.lu/post/15559814

On peut zoomer sur les détails en ouvrant le lien.

 

On peut zoomer sur les détails en ouvrant le lien.

 

Édition du 23 mars 1925.

Dix ans plus tard, ils cédaient au chant des sirènes, mais à leur sauce quand même ! (voir les définitions de la grille ci-dessous)

https://gallica.bnf.fr/iiif/ark:/12148/bpt6k405516b/f6/760,2080,700,1540/full/0/native.jpg (édition du 6 octobre 1935)

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