J'ai commencé Century Rain de Alastair Reynolds. C'est très prometteur, ce mélange de SF genre space opera post-scarcity et d'intrigue de détective dans le Paris de 1959, on se demande où ça va mener.
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Je vient de finir de lire Le Hobbit a ma petite de 6 ans. A peu pres 5 mois a raison de 4 pages par soir. Une immense fierte pour moi.
Maintenant elle veut que je lui lise Le Seigneur des Anneaux -_-
Lis-lui le Silmarillion à la place, c’est plus court.
je pense le premier livre tu peux le commencer jusqu'à Tom Bombadil et au moment où il les libère des tertres, au lieu d'appeler les poneys il appelle les aigles et Frodon jette l'anneau depuis le ciel, droit dans le cratère de l'Orodruin, et hop! fin de l'histoire !
🤣 Je sent qu'elle va sentir l'arnaque quand je vais sauter 1000 pages d'un coup
J'avance dans "le choix de Mélanie" des éditions Harlequin. J'ai l'impression qu'il y a deux auteurs : un qui pose un cadre intéressant avec un hara au bord du gouffre financier mais un poulain prometteur, une femme jockey dans un monde d'homme, une dynamique fraternelle compliqué... Et un autre auteur qui apparaît ponctuellement pour t'expliquer que au fond d'eux les personnages sont malmené des passions qu'ils ne pourront plus tôt ou tard contrôler.
C'est particulier.
Est-ce que ce roman n’est pas une métaphore du difficile métier d’écrivain ? Le choix de « Mélanie » n’est-il pas le dilemme de l’auteur tiraillé entre le livre qu’il voudrait écrire et celui que son éditeur lui demande ? Que va-t-il se passer quand Eileen Bryan ne pourra plus se réfréner et laissera libre cours à sa passion incontrôlable, l’écriture ?
Je ne sais pas. J'ai voulu me renseigner rapidement sur elle ou lui. Je voulais juste connaître son genre mais tout ce que j'ai trouvé c'est que l'auteur a gagné un prix de la société américain des auteurs de romance.
Bon, je n'ai pas cherché longtemps non plus.
C'est pas impossible. Vu le nombre de nanars publiés par ces éditions, je me demande s'il n'y a pas eu des écrits de commandes, des remix, des versions gentillettes et d'autres épicées, etc.
Ah bah voilà : Harlequin et le principe de la collection.
Les autrices qui publient chez Harlequin écrivent régulièrement pour cet éditeur. Elles répondent à des commandes, au sens où elles travaillent pour une collection particulière avec ses règles spécifiques et ses formats déterminés.
Il y a ainsi un processus assez rationalisé, lié aux rythmes de publication. Ce sont des auteurs professionnels, comme dans toute la littérature de commande, mais ils ne sont pas salariés.
L’éditeur exige un certain nombre de signes, un cadre spécifique, un degré déterminé de scènes sensuelles…
Si certains épisodes se retrouvent souvent à un moment similaire d’un récit à l’autre, cela s’explique simplement par les attentes produites par ce genre de romans, que les auteurs connaissent intuitivement. Ils savent que pour que leur récit soit séduisant, un certain schéma narratif fonctionne davantage. Il s’agit donc du déroulé narratif type, mais en aucun cas d’une bible qui serait distribuée aux auteurs.
C'est très intéressant. Plus que mon bouquin d'ailleurs. Il n'y a plus qu'un seul auteur et c'est le second qui a gagné le combat. Ça commence d'ailleurs à être inquiètant pour la fille. Avec du recul, les 4 premiers chapitres ressemblent à l'introduction d'un film d'horreur.
Le frère ivrogne aux mains baladeuses, celui aux pulsions étranges qu'il cache à la société. Et une jeune fille de 21 ans coincée avec eux dans la campagne avec pour seule compagnie dans la maison un vieil écossais qui a une dent contre son père.
Ah oui, glauque ! L'amant potentiel, c'est le vieil écossais ?
Ce passage de l'article m'a beaucoup plu, à propos de certains romans de la collection qui sortaient du cadre.
L’héroïne était une romancière dont le héros récurrent était un enquêteur. Il avait une particularité, c’est qu’il n’avait qu’un testicule. Dans le récit, l’autrice n’arrivait plus à écrire. Son éditeur l’emmenait à la campagne où un chien l’agressait. Elle faisait une crise de panique et devenait folle ; elle croyait alors vivre dans un de ses romans, et pensait que l’homme qui tenait la maison où elle se trouvait était l’enquêteur héros de sa série. Ils ne pouvaient donc coucher ensemble car elle se serait rendu compte qu’il avait deux testicules. Il était évident qu’un tel récit était impubliable. Une autre fois, nous avons renoncé à traduire un roman dans lequel une héroïne, pour faire une blague au héros, mettait un laxatif dans des cookies.
Je pense qu'elle va finir avec l'alcoolique. Le frère vient d'être mis hors jeu. L'auteur vient de décider que c'était un maniaque du contrôle. Son frère, lui, est prêt à respecter la liberté de la jeune fille. Reste maintenant quelque chapitre pour que lui accepte d'abandonner son libertinage pour être "digne d'elle"...
Wahou... Il a vraiment des histoires exotiques cachées dans cette version vintage des mauvaises séries Netflix. Je devrais faire plus attention à ce genre de roman. Les boîtes à livre en sont remplies et il doit y en avoir quelqu'un de très drôle.
Attends...elle finit avec son frère ?
MàJ : ah non ouf, j'avais mal lu. Elle finit juste avec un alcoolique ploteur. La chance...
L'alcoolique et le maniac du contrôle sont frères. L'écossais, c'est un ami de la famille. Lui, ne fait pas partie des prétendants de Mélanie Jo.
J'ai fini également mon Arsène Lupin et j'avance dans Dexter.
J’ai lu le deux premiers livres de la série « the expense ». C’est bien, j’aime bien l’intrigue et certains des personnages. Par contre je trouve ça reste un peu léger par rapport à d’autres bouquins comme « the three bodies problem ».
De ce que jai compris c'est souvent recommandé comme point d'entrée dans la SF parce que c'est facile à lire, c'est peut être pour ça !
Oui j’imagine que ça peut être un bon point d’entrée! C’est plus un Space-opéra avec des codes classiques de bouquins dans d’autres genres :)
J'ai fini "Une valse pour les grotesques" de Guillaume Chamanadjian, c'est pas mal mais ça tournait vite un peu en rond.
Fini aussi "La dissociation" de Nadia Yala Kisukidi et je ne sais toujours pas quoi en penser. Ca part dans tous les sens, il y a des réflexions politiques, philosophiques, artistiques qui s'accrochent au milieu, des échappées fantastiques... J'aimerais bien qu'elle écrive un autre roman pour, peut-être, me faire une idée (ou peut-être pas). Mais je vous mets ce qui m'a fait le lire dans la quatrième: "Armée de l'art de la dissociation, d'une liasse de billets volée et d'un Manuel mouillé, une naine prend la fuite à la pointe du jour."
Après avoir fini Consider Phlebas, je commence The Player Of Games, de Banks. Excellent world building, j'ai des émotions contradictoires parce que j'adore l'univers qu'il décrit, mais ça m'attriste qu'on ne vivra jamais une telle utopie
L'Homme des jeux est je pense mon préféré du cycle de la Culture. Cette façon de raconter ces parties d'un jeu ultra complexe de manière lisible sans expliquer les règles !
Hâte d'y arriver, pour l'instant j'ai juste entrevu le Stricken et le Possession je crois ! (il vient de se faire blackmail)
Un album jeunesse superbe feuilleté dans une bibliothèque municipale : Dans un jardin C’est un très grand format, avec de belles illustrations qui s’étalent sur la totalité des doubles pages, et plein de petits rabats. Vachement plus beau en vrai que sur les photos. L’original est en allemand.
Un autre album à rabats qui m’a fait marrer et sursauter : Chhht ! Non, je n’ai pas d’enfant, oui j’ai lu ça pour m’amuser.
Sinon je suis en train de relire Persuasion de Jane Austen dans une édition lourdement annotée. C’est super intéressant, ça permet de comprendre plein de choses qui ne sont pas évidentes pour le lecteur moderne.
Un album jeunesse superbe feuilleté dans une bibliothèque municipale : Dans un jardin
Atak est un illustrateur allemand très connu ! Version adulte/ado, il a aussi illustré L'Étranger Mystérieux de Mark Twain si ça t'intéresse.
Je ne connaissais pas Atak, mais j’ai très envie de lire d’autres bouquins de lui depuis que j’ai vu celui-là. Merci pour la reco — d’autant que le bouquin dont tu parles n’est pas apparu quand j’ai cherché "Atak" dans des catalogues de bibli, parce qu’elles n’avaient pas noté le nom de l’illustrateur dans leurs bases de données. Je ne l’aurais peut-être pas trouvé toute seule !
Ah, c’est intéressant, il explique que le livre que j’ai lu n’était pas destiné aux enfants à l’origine et a été pas mal transformé pour l’édition française, avec notamment l’ajout des rabats.